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ART “4” “2”-DAY  10 September
DEATHS: 1954 DERAIN — 1807 DEMACHY
1981: GUERNICA GOES TO GUERNICA
^ Died on 10 September 1954: André Derain, French Fauvist painter and sculptor born on 10 June 1880.
— André Derain was a leader in several avant-garde art movements of the early 20th century. Born in Chatou, near Paris, he abandoned his early engineering studies to pursue an artistic career. In 1905, he became a member of the fauvist ("wild beast") group, along with Maurice de Vlaminck and Henri Matisse. The group was so named because of the savage nature of the bold and unrealistic color used by the artists (see Fauvism). Most of Derain's works of this period were landscapes and cityscapes, such as London Bridge (1906). They show the typical fauvist characteristics of raw color (often squeezed onto the canvas directly from the tube), choppy brushstrokes, frenzied composition, and lack of concern for perspective or the realities of a scene.
      After 1908, Derain began to experiment with other styles. The influence of Paul Cézanne led him to prefer quieter colors and more controlled compositions. His great Bathers (1908) represented an attempt to combine the innovations of previous painters, such as Claude Monet and Cézanne, in a single all-encompassing synthesis. In 1910, Derain produced highly geometric, cubist-influenced works such as The Old Bridge at Cagnes. His late work, after 1912, showed the influence of many styles-including classical French art and African sculpture-and tended to become increasingly traditional and derivative, characterized by muted color and fussily elaborated technique. Derain also designed woodcut book illustrations and, in 1919, he designed set decorations for Sergey Diaghilev's Ballets Russes.
Portrait of Derain (46x34cm lithograph) by Lou-Lou Albert-Lasard [1891–]
LINKS
Self-Portrait (1914, 116x89cm; main detail 869x1130pix, 78kb — ZOOM to full picture 2000x1497pix, 260kb) _ Derain's dissatisfaction with the aesthetics of contemporary art once provoked the artist to exclaim that he did not want to be "of his time" but, rather, "of all time." Thus, while his paintings are always modern, the influence of the Old Masters is equally apparent. The darkness and severity of the present work, while recalling links to the contemporary work of Picasso, also reflect Derain's interest in Spanish painting of the Renaissance.
Portrait of a Young Girl in Black (1914)
London: St. Paul's Cathedral seen from the Thames (1907, 100x82cm; 929x799pix, 99kb — ZOOM to 2000x1603pix, 330kb) _ After the great financial success of Claude Monet's views of the Thames River, André Derain's dealer, Ambroise Vollard, convinced him to paint London, too. During two trips to England in 1905 and 1906, Derain made thirty views of the city. This one features Sir Christopher Wren's famous 17th-century cathedral. In Fauvist manner, Derain has distilled and expressed his emotions about the subject using intensified colors and a simplified design.
The Bagpiper at Camiers (1911, 188x150cm; main detail 1192x926pix, 116kb — ZOOM to full picture 2000x1596pix, 279kb) _ Although Derain had helped found Fauvism and had been an early adherent of Cubism, he increasingly fell away from both aesthetics, feeling their obsession with technique had supplanted the content of their work. Derain, instead, began to turn toward the Old Masters, even as he kept pace with the spirit of his own time. Thus, while The Bagpiper at Camiers owes much to Cézanne in color, brushwork and composition, a great debt to the Old Masters is also evident, especially the arcadian scenes peopled with shepherds and musicians by Titian, and Derain's countryman, Claude Lorrain. The Bagpiper at Camiers became one of Derain's best known pre-war pictures and its lyrical and romantic feeling established him as an artist in the "grand tradition" of large formats and timeless subjects.
Animals (27x20 woodcut in book L'Enchanteur Pourrissant; 929x799pix, 99kb)
Head of a Young Model (1926)
CadaquesLandscape CassisSt. Paul's from the Thames (1907)
Woman with BlousePaulBathersThe Bacchic Dancer (1906)
Turning RoadLondon Bridge (1906) — Pool of London
Madame Pierre Lévy et Claire (1949; 623x485pix, 123kb) — Annie (1949; 587x479pix, 114kb)
^ Died on 10 September 1807: Pierre~Antoine Demachy, French historical painter and draftsman born in 1723. — [Demachy de machines n'a que faire, pour lui ce sont les monuments et les foules qui importent.]
Le Déblaiement de la Colonnade du Louvre (1767; 339x500pix, 39kb) auctioned for $424'000 at Christie's on 23 May 2000.
Exécution capitale place de la Révolution (l'ancienne place Louis XV) (561x815pix, 187kb).
Un Temple en Ruines (1759, 161x129cm; 600x475pix, 52kb) _ detail 1 (400x400pix, 27kb) base of column and figures _ detail 2 (400x400pix, 22kb) part of a frieze _ detail 3 (400x400pix, 28kb) top of the arch _ Il est fort probable que cette oeuvre soit le morceau de réception que Demachy présente à l'Académie en 1758. Reconnu par ses contemporains comme le rival le plus heureux d'Hubert Robert, il est vraisemblable, que contrairement à cet artiste, Demachy ne soit jamais allé en Italie. Cette oeuvre cependant a été réalisée à une date où de nombreux modèles antiques étaient largement diffusés, notamment par l'estampe, permettant aux artistes de puiser dans ces registres de formes et répandant ainsi inlassablement une esthétique idéale qui séduisait par sa puissance et sa poésie.
     On peut supposer que Demachy ait commencé à se faire connaître par la scénographie. La théâtralité de cette composition est en effet saisissante, et appartient par différents détails au registre du décor de scène. Demachy, grand créateur d'illusion, semble ici l'héritier direct de son maître Servandoni, qui fut nommé en 1728 premier décorateur à l'Académie Royale de musique. Les nombreuses réalisations que ce dernier effectua pour l'Opéra lui valurent d'être véritablement adulé par le public parisien jusqu'en 1750. Servandoni transmettra également à Demachy l'art de la rovine ideale, qu'il avait lui-même reçu de Pannini. Ce Temple en ruines est la synthèse manifeste de ces deux influences.
     La mise en page très dense, mettant en place des éléments architecturaux qui semblent excéder la toile, confère à ce tableau une sorte de surdimension, la monumentalité du lieu étant accentuée par la présence discrète, presque fantomatique de personnages minuscules. L'oeuvre est particulièrement équilibrée et structurée, l'artiste cependant a évité, de manière ingénieuse, toute monotonie, car les lignes se croisent en de très nombreux points, invitant ainsi l'oeil à naviguer à travers les multiples recoins de la composition.
     Cet intérieur d'un temple est d'un effet singulier; la perspective est très étendue, les jours sont distribués à propos, l'oeil en parcourt avec délices les différents passages. Demachy utilise une perspective fuyante qui est peut-être également un emprunt à Servandoni qui a innové, dans les décors de scène, la perspective per angolo. Elle est ici particulièrement bien maîtrisée par Demachy qui occupera des années plus tard, au sein de l'Académie, la fonction de professeur de perspective. Ce tableau, qui produit un grand effet, témoigne également de l'influence de Piranèse dont les quatre volumes des Antichità Romane avaient été publiés deux ans auparavant, en 1756, et connaissaient un immense succès. Il existe une version réduite de ce tableau (60x48cm), probablement l'esquisse de ce Temple en ruines.
Fête de l’Etre suprême au Champ de Mars (20 prairial an II - 8 juin 1794) (1794; 834x1400pix, 180kb) _ Cette huile sur toile de Pierre-Antoine Demachy (1723-1807), peintre d’histoire et excellent dessinateur, livre un témoignage particulièrement intéressant sur le déroulement de la fête de l’Etre suprême au Champ-de-Mars, à Paris. Une vue panoramique du Champ-de-Mars lui a permis de restituer l’ampleur et la somptuosité de la célébration : au premier plan figure le peuple, dont les gestes, minutieusement dépeints, laissent transparaître l’allégresse que suscite la vue, au deuxième plan, d’une gigantesque procession formée par les représentants du peuple suivis des soldats révolutionnaires et de la garde républicaine. Au centre, sur un char que tirent quatre taureaux, trône l’allégorie des instruments des arts et des métiers et des productions du territoire français. Ce cortège s’achemine vers une sorte de rocher artificiel – la « montagne sacrée » par excellence – au sommet duquel s’élèvent l’arbre de la Liberté, symbole de l’unité et de l’adhésion collective à la Révolution, et une colonne antique surmontée d’une statue qui brandit un flambeau. En arrière-plan, à gauche, l’architecture massive de l’Ecole militaire évoque le cadre urbain dans lequel s’insère cette fête aux allures champêtres et mythologiques. Ainsi, de cette composition minutieuse et savamment élaborée se dégage une impression de grandeur, mais aussi de froideur qui correspond bien à l’esprit de la cérémonie, dont le faste hautain et le rituel à l’antique, strictement pensé dans ses moindres détails, étaient surtout destinés à inspirer la stupeur et à frapper l’imagination du peuple, plus spectateur qu’acteur.
     Fervent catholique, Robespierre s’opposait fermement à l’accélération du processus de déchristianisation entamé en septembre 1792. Pour lui, le vide laissé par la disparition du catholicisme risquait de plus de désorienter le peuple, accoutumé à ses dogmes et à ses rites. C’est pourquoi il s’efforça de créer une religion officielle, conforme aux idéaux des Lumières et, en particulier, aux théories rousseauistes, qui postulaient l’existence d’une morale naturelle et universelle et d’une divinité impersonnelle, l’Etre suprême, créateur de l’Univers. Dépourvue de prêtres et de sanctuaires, cette nouvelle religion déiste et patriotique n’en revêtait pas moins toutes les apparences d’un culte. La fête du 8 juin 1794 rencontra ainsi un certain succès en France. Elle ne fut que le couronnement d’une série de tentatives menées par les dirigeants de l’an II pour instaurer un culte révolutionnaire. Pour la plupart avortées, ces tentatives témoignent de la complexité des liens qui unissaient la sphère politique et la sphère religieuse, ainsi que de l’impossibilité d’éradiquer tout sentiment religieux. Elles constituèrent également le point de départ d’une religion civique dont les développements ont marqué l’histoire de la République.
     A l’été 1793, la Révolution française traverse une période sombre : le pays est durement touché par une crise économique et des troubles sociaux auxquels s’ajoutent une guerre civile (insurrection vendéenne et révolte fédéraliste) et une série de défaites militaires aux frontières. Or l’entrée de Robespierre, fervent jacobin, au Comité de salut public le 27 juillet 1793 marque un tournant : elle permet au gouvernement révolutionnaire d’opérer un redressement de la situation sur tous les fronts, tandis qu’elle entraîne simultanément une radicalisation de la Révolution. Robespierre, qui aspire à l’unité et à la régénération du peuple, s’efforce d’éliminer physiquement tous les ennemis de la Révolution. A ce renforcement de la Terreur, il ajoute l’instauration d’une religion d’Etat en mai 1794 : le culte de l’Etre suprême, en l’honneur duquel il organise des cérémonies fastueuses le 08 Jun suivant.

Died on a 10 September:

1933 Laurits Andensen Ring, Danish artist born on 15 August 1854.— Sommerdag ved Roskilde Fjord (1900)

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Born on a 10 September:


1908 Carel Victor Morlais Weight, English painter and teacher who died on 13 August 1997. Although he was born and lived in London, he was partly of German and Swedish descent. Weight was a unique painter of enigmatic, odd as well as some fine portraits, particularly those of the artist Orovida Pissarro. Weight studied at Hammersmith School of Art 1928-1930, then Goldsmiths' College School of Art, 1930-1933, at both under James Bateman. At Goldsmiths' Weight met his life partner Helen Roder whom he married in 1990. During WW2 he served in the Army, being appointed an official war artist in 1945. He painted a mural for the Festival of Britain's Country Pavilion in 1951, another for Manchester Cathedral in 1963. From 1947 he began a long teaching association with the Royal College of Art, becoming Professor of painting 1957-1973. Weight's many students included David Hockney. After Weight's retrospective at the RA in 1982, his work became more fashionable, prices moving up sharply. — Weight was born at Paddington in West London and named after a Dutch godfather. He spent much of his formative years in and around Chelsea and Fulham. In those days the areas he frequented were poor and the streets, alleys and parks of south west London were to provide the setting for many of his later productions as an artist. Carel studied at Hammersmith College of Art from 1926 to 1929; from there he was to spend two days a week at Goldsmiths' College of Art. He submitted his first picture, Flower-piece, to the Royal Academy in 1931. He combined his vocation as a painter with that of art teacher and from 1932 to 1942 he taught part-time at Beckenham College of Art. After three years of war service he was appointed an official war artist in 1945-1946 working in Italy, Austria, and Greece. In 1947 Carel joined the staff of the Royal College of Art and from 1957 to 1973, he was Professor of Painting in charge of the Painting School. Carel had a highly distinctive style. His work was very English, painterly yet rather quirky, also owing something to European expressionism. He was very interested in painting people; not just portraits in which he captured the sitter marvelously well, but in people going about their everyday business, crossing the road, turning a corner, or walking briskly through a park. Although these were ordinary things, Carel managed to convey a feeling of exaggerated movement, a sense of speed, even menace, of inner turmoil, leading the viewer to realise that a drama was being enacted before them, as opposed to some sedate scene which posed little challenge to the senses. — Bitter Day (1976, 27x22cm) — Allegro Strepitoso (51x66cm; 300x386pix, 37kb) _ at the zoo, two women flee a lion that is coming out of its cage — The Day of Doom (66x58cm; 307x260pix, 29kb) — The Return of the Prodigal Son (44x63cm) — Holborn '47 (44x63cm)

1870 Roland Wheelwright, Australian-born British painter of historical and classical subjects. — Born in Australia at Ipswich, Queensland. Came to England and was educated at Tonbridge. Studied art at Herkomer’s School at Bushey. Exhibited at the Royal Academy and Paris Salon. Principal works include Joan of Arc Taken Prisoner, The Caravan, Enid and Geraint and Don Quixote. Lived at Bushey in Hertfordshire for many years and died on 20 May 1955. — Enid and Geraint (185x124cm) _ Inspired by Tennyson’s idyll The Marriage of Geraint, the tale of a knight of the Round Table and his beloved bride. — The Enchanted Shore (123x183cm) _ Sirens with flowing tresses and alabaster skin lure a knight to the rocky shore in this romantic allegory. The horse rears and the enchanted knight holds his gallant steed at bay. — On the Rocks (tiny image) http://www.brandler-galleries.com/Images/Paintings/Weight2.jpg

1868 Lazar Krestin, Russian Jewish artist who died in 1938.

1797 Franz Krüger “Pferde-Krüger”, German painter who died on 21 January 1857. On occasion, he did paint a picture without a horse. — " Krüger ist nicht nur einer der größten Meister, die in der vorbismarckischen Epoche in Berlin gewirkt haben, sondern auch einer der größten Meister Deutschlands aus dieser Zeit " (Max Liebermann, 1908). — LINKSAusritt des Prinzen Wilhelm von Preußen in Begleitung des Malers (1836; 2070x1576pix, 555kb) — Ausritt zur Jagd (1819; 1520x2024pix, 579kb) — Prussian Cavalry Outpost in the Snow (1821) — Nach einem Spazierritt (Porträt der Friederike Luise Charlotte Wilhelmine, Tochter Friedrich Wilhelm III.) (1839; 2363x2024pix, 367kb) — Porträt des Fürsten Nikolai Saltykow im Maskenkostüm, Obermundschenk am Russischen Hof (1850; 2562x2024pix, 444kb) — Porträt des Grafen Alexander Kuschelew-Besborodko (1851; 2625x2024pix, 387kb) _ No horse, but the man does wear side-blinders, reminiscent of a draft horse. — Prince Pjotr Wolkonski (1850, 283x188cm) _ detail 1 (head and shoulders) _ detail 2 (head) — Earl Pavel Kisseliev (1851, 140x103cm) _ detail (face) — Pferd im Stall (1846; 458x584pix, 168kb)

^ 1762 Joseph-François Ducq, in Ledegem, Belgian painter who died on 09 April 1829 in Bruges. — Possédant un don naturel pour le dessin, Ducq étudia à l’Académie de Bruges, sous la direction de Paul De Cock [1724-1801] et y obtint en 1786 le premier prix. Il partit aussitôt à Paris, où Joseph-Benoît Suvée [1743-1807] le prit sous sa protection. Marqué par le mouvement révolutionnaire, il revint à Bruges en 1792, se fit membre du club jacobin local et joua même très brièvement un rôle politique pendant les derniers jours de la première occupation française (novembre 1792 – mars 1793) en tant que septième adjoint au maire, chargé des affaires de police. Ducq regagna Paris dès 1795 et y décrocha un Deuxième prix de Rome en 1800. Il séjourna dans la Ville éternelle de 1807 à 1813 et devint peintre officiel à la cour d’Eugène de Beauharnais, alors vice-roi d’Italie. Il passa les années mouvementées de 1813 à 1815 à Paris, puis revint se fixer à Bruges, où il fut nommé directeur de l’Académie de peinture, fonction qu’il accomplit avec beaucoup de zèle. Il reçut également le titre honorifique de peintre à la cour du roi Guillaume Ier.
     Ducq n’a pas laissé de nombreux témoignages de son art et fut du reste poursuivi par la malchance. Les tableaux Aurore et Nuit, achetés par Napoléon, disparurent dans l’incendie du château de Saint-Cloud et son Hubert van Eyck introduisant Antonello da Messina dans l’atelier de Jean van Eyck, acquis par Guillaume 1er, connut le même sort. Les collections de la ville de Bruges ne conservent de lui que le portrait d’un futur directeur de l’Académie, Jan Van Gierdeghom [1785-1865], ainsi qu’un reproduction en réduction du tableau qui lui valut le Prix de Rome. En revanche la ville de Bruges possède de lui une série de près de trois cent dessins. On y retrouve quelques portraits, comme celui de Suvée et de son épouse, quelques portraits anonymes parfois fort bien réussis, et un autoportrait. Ces dessins étaient principalement des études préparatoires pour des tableaux. De ce qu’ils représentent on peut conclure qu’il gravitait entièrement sur l’orbite classique de l’époque, avec sa prédilection pour les sujets puisés dans la mythologie et dans l’histoire gréco-romaine.
     Citons quelques titres: Scipion retrouvant son fils (le sujet imposé pour le Prix de Rome de 1800), Méléagre rejetant les supplications d’Agamemnon, Le mariage d’Angélique et Médor, etc. L’imprimeur Joseph Bogaert avait dans sa collection deux tableaux peints par Ducq: Marchand présentant une esclave au roi David et Loth et ses filles. A leur propos, le catalogue de la vente mortuaire signalait que le prince Eugène de Beauharnais, qui accompagnait Napoléon et Marie-Louise lors de leur Joyeuse Entrée à Bruges en 1810, avait en vain essayé de les acquérir. Ce prince, qui possédait de Ducq un Combat d’hommes et de lions, devait sans doute être le propriétaire d’autres œuvres de celui qui avait été son peintre attitré. Durant sa dernière période à Bruges, Ducq réalisa bon nombre de portraits, entre autres ceux de Henri Mamet (1818), Petrus Vyncke (1824), Alexandre van Bisseghem (1820) et Nicolas de Roover (1820). Il existe de lui un dessin représentant le graveur brugeois Jan Karel de Meulemeester. — Mme J.J. De Meyer (1822 146x110cm; 544x396pix, 121kb)

1677 Jean-Thomas-Nicolas van Kessel, Flemish artist who died in 1741. — Relative? of Jan van Kessel [1626-1679] and Jan van Kessel the Younger [1654-1708]?

click to zoom in^ 1981 Picasso's Guernica goes to Basque town of Guernica      ^top^
     Pablo Picasso's monumental painting entitled Guernica is received in the town of Guernica, whose martyrdom during the Spanish Civil War is symbolized by it. Picasso stated in his will that the painting was not to return to Spain until the Fascists lost power and democracy was restored.
      On 26 April 1937, with the authorization of Francisco Franco, the German military tested its powerful new air force — the Luftwaffe — on the non~belligerent Basque town of Guernica and its 5000 inhabitants.
      The indiscriminate killing of Guernica’s women and children by the Luftwaffe aroused world opinion, and became a symbol of fascist brutality. Pablo Picasso reacted by creating the famous painting.
      Picasso decided that the painting not go to Spain until democratic liberties were restored in the country. Its eventual return to Spain in 1981 — eight years after Picasso's death — was celebrated as a moral endorsement of Spain's young democracy.
     — Llega a España, procedente de Nueva York, el Guernica de Picasso, con 23 bocetos que lo completan. Quedará instalado en el Casón del Buen Retiro en Madrid.
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